vendredi 29 octobre 2010

Marguerite.

Souffre, comme tu nous as tous fait souffrir.
 Souffre. 
Je t'en rendrais malade. 
Gamine je vais te surprendre. 
Je te promet.
Moi aussi, je peux être une "pute".
Et tout ça, rien que pour toi.



Je n'ecris plus sur toi, l'inspiration me manque et toi n'as plus vraiment de sens. Ca ne sonne plus si bien. Tout a tellement changer. Meme eux. Meme moi. Surtout moi. On evolu ou regresse. En cet instant je regresse. Je sens un mur se dresser face a moi. Les portes se ferment sur moi. Le passé s'emiette. Disparait derriere moi. Le present s'eternise. Le futur se fait inaxessible. Je gise dans mes souvenirs. La memoire un peu confuse. J'entend ses pleurs. Mon coeur qui craque sous chaque gemissements. Je sens que peu a peu je decouvre la face cachée du monde. Je sens que peu a peu la situation devient irréversible. Toi, elle, moi, lui. Elle sombre et je la regarde mourir peu a peu devant moi. Mes mots, mes actes ne changent rien. Sentiment d'impuissance lorsqu'elle s'ecroule a mes pieds. Sentiment de culpabilité qu'elle se détruise et pas moi. Et je ne peux que lui offrir mon sourire faussée et une cigarette. Et lorsque écraser sur le trottoir, la debauche se meurt. Je perd mes reves, moi qui autrefois rever tant. Je fatigue. La pression monte. La tension. L'opressement d'entendre le rire de cette gamine qui l'entraine elle aussi sous les lumieres de la decheance. Le chao ou le neant. Ou les deux. Une impression que tout filent entre mes doigts. Eux, la vie, le monde. Comme condamné a l'erance, je suis perdu dans le vide. Elle arrive. Elle fait la belle. Joue. Son sourire de garce, sa couleur de cheveux qui fait mal au yeux. Manipulatrice qui lance des piques, se plaignant d'etre la cible de mauvaise reputation, critique et injures. Elle parle, deforme les faits. Et ce soir, assise au coin d'un feu, a jouer a un jeu source de revelation, elle pose sa main sur ma cuisse, me sourit et joue. Elle joue, mais oublit que je n'attendais que ca. Elle a voulu jouer, jouons. Pour eux, pour elle, pour lui pour moi, pour ce desordre qu'elle a foutu dans toute nos vies. Car oui faut bien le dire, elle en est bien un peu la cause de ce bordel
Alors je ne promet pas de gagner, mais en revanche je promet, de lui en faire baver.

mercredi 27 octobre 2010

"je souffre sans douleur"

Mon coeur s'est emballé comme tel avec aucun d'entre eux mais quand c'est toi, c'est comme la premiere fois. Je m'en mord les levres comme le jour ou, caché derriere deux meches de cheveux je rougissais en voyant ta silouhette se dessiner. J'en souris betement. Tout passe au dessus de moi, je suis gagné par un sentiment de legerté. Les autres, je ne les regarde plus. Il n'y a plus que toi, ma crapule. Serait ce ton grand retour mon amour?
Savoir que tu penses a moi fait eclabousser mon bonheur au grand jour. Je creve  de mon impatience. Je reve en cachette de nos retrouvailles. Je reve de toi, moi et de tout s'qui pourait se repasser. Je jubile de savoir que ca te ronges de me voir sortir, vivre, sourire.Et meme si avec toi c'etait pas toujours tout rose, c'etait tellement beau. Comment oublier?

Un jour, je t'aurais a nouveau chenapan soi en sur :)

dimanche 24 octobre 2010

                                 



C'est bizarre d'apprendre que je t'ai pas tant perdu.
 C'est bizarre de savoir que tu reste nostalgique 
quand t'y repenses. Ca brule. Tu me brules. J'ai 
longtemp voulu te fuir mais aujourd'hui, j'aimerais 
te poursuivre et suivre ton drole de chemin, me
 laisser entrainer par notre drole d'histoire meme 
si on nous le repproche trop souvent. je sais ce que 
je veux. je sais que c'est toi. Je sais meme que je
 pourrais penser a autre que toi si je trouvais 
"le bon", je sais que je pourrais passer a autre 
chose si je voulais. mais je ne veux pas t'effacer.
 Te rayer, j'y peux rien si je ne veux pas. Parce 
que toi tu etais ma liberté. mon adrenaline. Tu 
m'as fait vivre ton reve a toi, mais il a pas mit 
longtemp a mal tourner.
Et aujourd'hui, assise derriere une voiture
 lorsque je l'entend qu'elle me dit que c'est pas 
si fini que je ne le pense, j'ai envi de courir
 jusqu'a toi quitte a me bruler les ailes.

vendredi 22 octobre 2010






"jai constaté que meme un silence de toi pouvait pousser mon rire a mourir."

vendredi 15 octobre 2010

blablabla.



En grandissant on oublit que le monde est un immense terrain de jeu. 
J'ai 18 ans et je ne veux pas faire parti de ces gens la.
Je ne grandirais pas.

vendredi 8 octobre 2010